CARLOS NINE (1944-2016)
Carlos Nine (1944-2016)
Ya vendra el tiempo de los homenajes, el tiempo de analizar ese fenomeno irrepetible dentro de la plástica argentina que fué Carlos Nine. Por ahora solo se puede estar triste de perder esa fuente de novedades y de experimentos. Nos quedamos un poco más solos. Estoy seguro sin embargo que hay cantidades industriales de trabajos que Carlos no dió a conocer.
Hace poco estuvimos en contacto por mail porque buscaba un editor (!!!) europeo para un nuevo proyecto de libro de textos e imagenes, centrado sobre sus bellisimos relieves, algunos de los cuales he publicado aquí en Troesmas. Eso es increible: estaba apurado por publicar otro libro, por dar a conocer esa otra parte importante de su trabajo, y tenia a pesar de todo que seguir buscando editores. Ya colgaré algunas de las paginas que me mostró.
Yo le pedí que me escribiera un poco como fue el trabajo con Dolina para las Cronicas del Angel gris, texto que agregué a el post sobre ese libro. También le pedi que me hablara de las magistrales obras que publicaba en El Periodista.
-Trabajaba como un caballo, dijo.
/// Plus tard viendra le temps des hommages et de l'analyse de ce phénomène unique dans les arts plastiques argentines qui fut Carlos Nine. Pour l'instant, on ne peut qu'être triste d'avoir perdu cette source de nouveautés et d'expérimentations. On se sent un peu plus seuls. Je crois cependant qu'il y a des tonnes d’œuvres encore inédites.
On était en contact par mail il y a peu. Carlos cherchait à faire éditer en Europe un livre de textes et images consacré à son travail de sculpture, certaines, disponibles dans ce blog. C'est incroyable: il lui tardait de publier encore, de donner à voir tout ce pan méconnu de son œuvre, et en même temps, il lui était difficile de trouver l'éditeur capable de prendre ce risque.
Je lui demanda de me raconter comment s'était passé le travail pour Les Croniques de l'Ange Gris, un classique de la littérature populaire des années 80. Aussi, je voulais qu'il raconte son travail de presse à cette époque. Je bossais comme un cheval fou, dit-il.
-Trabajaba como un caballo, dijo.
Sergio Aquindo
/// Plus tard viendra le temps des hommages et de l'analyse de ce phénomène unique dans les arts plastiques argentines qui fut Carlos Nine. Pour l'instant, on ne peut qu'être triste d'avoir perdu cette source de nouveautés et d'expérimentations. On se sent un peu plus seuls. Je crois cependant qu'il y a des tonnes d’œuvres encore inédites.
On était en contact par mail il y a peu. Carlos cherchait à faire éditer en Europe un livre de textes et images consacré à son travail de sculpture, certaines, disponibles dans ce blog. C'est incroyable: il lui tardait de publier encore, de donner à voir tout ce pan méconnu de son œuvre, et en même temps, il lui était difficile de trouver l'éditeur capable de prendre ce risque.
Je lui demanda de me raconter comment s'était passé le travail pour Les Croniques de l'Ange Gris, un classique de la littérature populaire des années 80. Aussi, je voulais qu'il raconte son travail de presse à cette époque. Je bossais comme un cheval fou, dit-il.
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